De : Mister T
En ce qui me concerne, j'ai opté depuis peu pour l'option de trajet suivante : le matin métro ligne 1 et le soir RER A. J'ai donc pu constater que la population n'est pas la même. Dans le métro, il y a d'abord les gros PD du cul entre Bastille et Chatelet, puis les cons de touristes avec leur plan de Paris à la main entre le Louvre et les Champs, puis enfin les enculés. Les enculés, ce sont ces connards au costard Hugo Boss à 800 roros, au petit sourire narquois de petit blanc bec plein d'assurance qui gagne son bureau de bâtard de trader de merde à 12000 €/mois, métier, si on peut appeler ça métier, qu'il exerce grâce à son diplôme d'école de commerce acquis lui-même grâce au pognon de papa-maman les gros bourgeois, ceux pour qui on a baissé le bouclier fiscal à 50% parce que quand même ils étaient entrain de crever de faim, mettant ainsi en péril l'économie française.
Dans le RER A, il y a plus de prolos. Des gens qui viennent de plus loin, parfois même de l'autre côté du périph', la province quoi. Ces gens-là sont moches et mal habillés. Ils devraient d'ailleurs travailler la nuit pour éviter de se montrer et ainsi faire peur aux braves gens.
Mais à ma grande joie, j'ai remarqué que ces 2 populations ont une attitude similaire dans les transports en commun. Je ne reviendrai pas sur celle des animaux du RER qui a déjà été narré de fort belle manière précédemment. Je préférerai raconter une anecdote survenue cette semaine dans le métro, ou tromé comme disent les jeunes. Alors que la rame dans laquelle je me trouvais était bondée de chez bondée, nous arrivons à Charles De Gaulle Etoile. Là 2-3 bourgeois poussent pour monter, et y parviennent en compressant leurs congénères déjà présents dans la boîte à sardines. A ce moment-là il n'y a vraiment plus un cm² de libre. Malgré cela, un sombre connard toujours sur le quai, costard impeccable, manteau tout aussi impeccable, lunettes et raie sur le côté, déclare avec un accent anglais à la con (ceci est un pléonasme) : "Avancez, il y a beaucoup la place" (sic). Se prenant pour Raphaël Ibanez, il a donc poussé le pack des voyageurs compressés, s'est retrouvé au niveau de la porte lorsque celle-ci s'est fermée. Il se l'est donc mangé, a dû ressortir et a continué à gesticuler sur le quai alors que le métro filait vers la magnifique station "Argentine" poil à la pine.
Les cons sont partout.
En ce qui me concerne, j'ai opté depuis peu pour l'option de trajet suivante : le matin métro ligne 1 et le soir RER A. J'ai donc pu constater que la population n'est pas la même. Dans le métro, il y a d'abord les gros PD du cul entre Bastille et Chatelet, puis les cons de touristes avec leur plan de Paris à la main entre le Louvre et les Champs, puis enfin les enculés. Les enculés, ce sont ces connards au costard Hugo Boss à 800 roros, au petit sourire narquois de petit blanc bec plein d'assurance qui gagne son bureau de bâtard de trader de merde à 12000 €/mois, métier, si on peut appeler ça métier, qu'il exerce grâce à son diplôme d'école de commerce acquis lui-même grâce au pognon de papa-maman les gros bourgeois, ceux pour qui on a baissé le bouclier fiscal à 50% parce que quand même ils étaient entrain de crever de faim, mettant ainsi en péril l'économie française.
Dans le RER A, il y a plus de prolos. Des gens qui viennent de plus loin, parfois même de l'autre côté du périph', la province quoi. Ces gens-là sont moches et mal habillés. Ils devraient d'ailleurs travailler la nuit pour éviter de se montrer et ainsi faire peur aux braves gens.
Mais à ma grande joie, j'ai remarqué que ces 2 populations ont une attitude similaire dans les transports en commun. Je ne reviendrai pas sur celle des animaux du RER qui a déjà été narré de fort belle manière précédemment. Je préférerai raconter une anecdote survenue cette semaine dans le métro, ou tromé comme disent les jeunes. Alors que la rame dans laquelle je me trouvais était bondée de chez bondée, nous arrivons à Charles De Gaulle Etoile. Là 2-3 bourgeois poussent pour monter, et y parviennent en compressant leurs congénères déjà présents dans la boîte à sardines. A ce moment-là il n'y a vraiment plus un cm² de libre. Malgré cela, un sombre connard toujours sur le quai, costard impeccable, manteau tout aussi impeccable, lunettes et raie sur le côté, déclare avec un accent anglais à la con (ceci est un pléonasme) : "Avancez, il y a beaucoup la place" (sic). Se prenant pour Raphaël Ibanez, il a donc poussé le pack des voyageurs compressés, s'est retrouvé au niveau de la porte lorsque celle-ci s'est fermée. Il se l'est donc mangé, a dû ressortir et a continué à gesticuler sur le quai alors que le métro filait vers la magnifique station "Argentine" poil à la pine.
Les cons sont partout.
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